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Là bas, si j'y suis...
29 juin 2014

Bon retour à Michel!

Si l'idée du retour est difficile à digérer, j'ai la chance de rentrer à Paris avec un petit bout de Kampot avec moi!!!

Léna et Fanche retournent en France pour y passer l'été et c'est totalement fortuitement que nous avons réservé quelques mois plus tôt, une place dans le même avion! Nous attérrissons donc tous les trois sur le tarmac d'Orly, reprenant doucement nos marques dans le 20ème arrondissement parisien rythmé à l'heure d'été.

Kampot represent!!!

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Les yeux qui pétillent à la vue des plaisirs simples...

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Michel retrouve enfin Matthieu qui huit mois plus tôt, a eu l'excellente idée de glisser ce discret* compagnon dans mes bagages!

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Pas le temps de se poser ou de se morfondre! On est vite happé par le tourbillon des retrouvailles, la surprise des changements opérés en son absence, le rythme cadencé de la vie parisienne, et ce d'autant que je retrouverai le chemin du bureau seulement 4 petits jours après avoir atterri...

J'aurai tout de même le temps de goûter au plaisir de retrouver les copains autour d'une bonne bouteille, remplir son frigo de (vrais!) fromages, dormir sous une couette et sur un épais matelas, se réveiller à l'odeur d'un café serré, boire directement l'eau du robinet, ne plus continuellement devoir s'éponger le front, se sevrer enfin du riz qu'on a dégusté par kilo, à toutes les sauces, à tous les plats...

Mais revenir d'une longue parenthèse asiatique, c'est également s'habituer à traverser quand le bonhomme vert l'autorise, s'endormir sans le ronron du ventilateur, ne plus compter les cris nocturnes des teckos, se réveiller avec la gorge sèche, réapprendre à se servir de sa machine à laver, ressortir les casseroles après 8 mois de street food, reporter ses talons de 8 centimètres, ne plus chercher la poubelle où jeter le papier toilette, respecter les interdictions de fumer, se rappeler qu'il existe des dimanches, regarder sa montre, et surtout se faire à l'idée qu'il fait encore jour à 18h et que le soleil ne disparaitra pas avant 3 heures... Etonnamment l'élément le plus perturbant!

Ceci étant, voilà plus d'une semaine que je suis rentrée et je n'ai toujours pas eu le courage de vider mon sac à dos...

 

* je parle de Michel et non pas de la blonde peroxydée

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21 juin 2014

Boucler la boucle

12 jours... C'est le temps qu'il me restait après l'expiration de mon visa Philippin. Trop court pour partir fouler d'autres contrées, trop frustrant de couper ma route en plein élan. Ca sera retour à Kampot, mon home sweet home asiatique!

Après une nuit blanche à l'aéroport de Kuala Lampur, je reviens donc à la Tiki pour filer un coup de main à Hugo, seul tout l'été pour gérer la guesthouse après le départ en vacances de Fanche et Léna. J'y retrouve mes marques et reprends vite mes habitudes : lecture au fond du hamac, mots fléchés au comptoir, apéros entre expats, fins de soirée au Madi... Les jours passent tranquillement, dans une ville particulièrement calme en cette saison des pluies.

La Tiki Guesthouse...

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... et le véritable maître des lieux : le chien Kiki!

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Des instantanés de Kampot

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La boulangerie

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Kampot a pour symbole le Durian, représenté au beau milieu d'un rond-point du centre-ville. On dit de ce fruit qu'il a l'odeur de l'enfer mais le goût du paradis... Une traversée du marché de Kampot suffit à s'en faire une idée!

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Mais la région est aussi connue pour ses Krama, écharpes à carreaux portés partout au Cambodge

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L'appel du 18 juin se rapproche à grands pas et après une dizaine de jours passés à Kampot, c'est en traînant des tongues que je quitte pour de bon le Cambodge, dernière véritable étape de mon parcours avant le grand retour...

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Mais les heureux hasards croisent une nouvelle fois mon chemin : Fanche et Léna, les 2 autres piliers de la Tiki, rentrent quelques semaines en France, et c'est sans s'être concertés que nous nous retrouvons sur le même vol retour pour Paris!!! Je quitte donc Hugo à Kampot pour rejoindre le sacré binome à Bangkok, où notre avion nous attend le lendemain. Plus de 3 mois que nous nous sommes quittés et tant d'anecdotes à échanger! A quoi bon aller se coucher quand notre vol est prévu aux premières de la journée?!?

Et comme le 1er soir de mon arrivée, tout juste 8 mois auparavant, je relève à nouveau le pari de croquer dans un scorpion grillé (on va finir par croire que je trouve ça bon!) vendu dans la festive Koh San Road.

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6 am. Bangkok. Nuit blanche. C'est parti!

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14 juin 2014

8 months wandering in Asia...

8 mois de baroudage à travers l'Asie du Sud-Est pendant lesquels j'aurai fréquenté les plages animées de Thaïlande, arpenté les campagnes rustiques du Laos, me serai frottée à la rudesse de la Chine, été éblouie par la lumière du Cambodge, fait la boucle dans le sud du Vietnam, été plongée dans le cosmopolitisme de la Malaisie, papillonné entre les îles ensoleillées d'Indonésie, galéré sur les routes de Bornéo, me serai un peu abîmée aux Philippines... avant de retourner me ressourcer à Kampot, l'endroit où je me suis sentie un peu comme chez moi!

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14 juin 2014

Highlights!

Les highligts du Lonely Planet pour le continent Sud-Est Asiatique m'ont donné envie de dresser ma propre liste de préférences, non exhaustive et sans aucune notion de classement. C'est un peu les coups de coeur du Lonely Ben ;-)

 

- la quiétude et la lumière du riverside de Kampot (Cambodge)

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- la découverte du lac Napa (sans eau!) dans les hauteurs de Shangri-La, à plus de 4 000 mètres d'altitude (Chine)

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- la traversée en mer pour relier Sabang à Port Barton (Palawan, Philippines)

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- la préparation de la fête du Niepy (Bali, Indonésie)

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- la street food et les cafés dans les vieilles gargottes de Phnom Penh (Cambodge)

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- le temps suspendu sur le lac Tempe à Sengkang (Sulawesi, Indonésie)

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- la rencontre avec les grands singes à Semboja (Bornéo, Indonésie)

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- la visite du musée de la Guerre du Vietnam à Saigon (Vietnam) et du centre S21 à Phnom Penh (Cambodge)

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- les toges oranges des moines (Laos, Cambodge)

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- les rues fleuries lors de la fête du Têt (Vietnam)

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- le marché flottant de Can Tho (Vietnam)

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- les plantations de thé des Cameron Highlands (Malaisie)

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- la traverée de la rivière Batang Rejang sur le toit d'un bateau (Bornéo, Malaisie)

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- l'atmosphère si particulière des villes le long du Mékong (Laos et Cambodge)

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- la descente en bateau de la rivière Nam Ou (Laos)

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- la magie des temples d'Angkor (Cambodge)

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- les rizières en terrasse de Banaué (Philippines)

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- le sourire des enfants à Kampong Chnang (Cambodge)

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- la route époustouflante à travers la Cordillère (Luzon, Philippines)

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- la flotte du village de Mui Ne (Vietnam)

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- les spectaculaires Gorges du Saut du Tigre (Chine)

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 - la tranquilité et le ciel étoilé de Port Barton (Palawan, Philippines)

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- les reines des routes et des rizières (Cambodge)

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- l'apparition soudaine d'un éléphant domestiqué dans les montagnes du Mondolkiri (Cambodge)

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- la vision d'un Gibon dans la jungle de Bornéo (Brunei)

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- les petits déjeuners à Vientiane (Laos)

 

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- la bienveillance des moines bouddhistes (Laos, Cambodge)

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- les heureuses retrouvailles dans le dédale des 4 terminaux de l'aéroport de Manille (Philippines)

Manille avec les 4GT!!!

- les rencontres improbables aux arrêts de bus (Sulawesi, Indonésie)

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- les marchés, tous les marchés!!!

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11 juin 2014

Les plus...

Le plus souriant : Philippines

Le plus rude : Chine

Le plus excessif : Thaïlande

Le plus balisé : Vietnam

Le plus galère : Bornéo

Le plus exigeant : Brunei Darussalam

Le plus touchant : Cambodge

Le plus religieux : Bali

Le plus cosmopolite : Malaisie

Le plus urbanisé : Vietnam

Le plus rural : Laos

Le plus lumineux : Cambodge

Le plus fleuri : Vietnam, pendant la fête du Têt

Le plus dévasté : Bornéo

Le plus bruyant : Chine, talonné par le Vietnam!

Le plus téléphage : Chine

Le plus pimenté : Thaïlande

Le plus sale : Chine

Le plus anglophone : Philippines

Le plus francophile : Laos

Le plus "Nobel" : les lits chauffants chinois!

La plus belle arme : l'autodérision

La plus belle erreur : l'impatience

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2 juin 2014

Comment passer de l'enfer au paradis...

À peine arrivée à Manille, je me sens déjà oppressée par le trafic intense, les affres du tourisme sexuel, les malls géants qui contrastent avec une indicible pauvreté... Pas un 

coin de rue qui ne compte pas une famille "installée" sur des cartons, pas une entrée d'établissement (de la banque nationale au vulgaire 7/11, équivalent de nos Proxi) devant laquelle n'est pas planté un garde armé jusqu'aux dents pour décourager les "descentes" de gamins de 10 ans déjà condamnés par un usage abusif de la colle, pas une heure de la nuit où ne se mêlent pas des vendeurs en âge d'aller encore à l'école avec les prostituées postées à l'entrée des bars in de cette ville qui ne dort décidément jamais... À la vue d'une jeune femme vivant sur le trottoir avec ses enfants et arborant un tee-shirt "Jesus loves me", je suis soudainement prise de ce qu'on pourrait appeler le cynisme du découragement...

 

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Pas envie de rester une nuit de plus dans cette ville aux paradoxes que je ne parviens pas à accepter! Je me décide donc presque sur un coup de tête, à acheter un billet d'avion pour partir le lendemain matin sur l'île de Palawan, encore peu développée et épargnée par le typhon ravageur Yolanda.

Je passe rapidement sur mon séjour plus que bref dans la capitale de l'île, Puerto Princesa, et sur ma journée à Sabang pour un "tour" (dans toute son acceptation touristique...) à la célèbre underground river : 2,5 kilomètres parcourus à la lampe torche et en bateau sur cette rivière souterraine qui accueille de drôles de volatiles (des chauves souris, évidemment!) et qui a patiemment érodé la roche jusqu'à lui faire adopter de curieuses formes qui font maintenant le régal des guides locaux... C'est à croire qu'ils voient la Vierge Marie et la Sainte Famille partout!!! On a même le droit à l'inventaire des fruits et légumes philippins : "You see, Mam! Here's a papaya!" "And Mam, look on the top of the cave : the rock looks like a banana!". Vous aurez compris mon enthousiasme tout relatif lors de cette visite effectuée en compagnie d'une armada de touristes, tous parés de leur gilet de sauvetage orange qui ne passent pas inaperçus, surtout au milieu de la jungle...

Celle qui tire un peu la tronche à l'arrière du canot, c'est moi...

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Bien que je n'ai pas été emballée par ce petit village, j'y resterai une nuit supplémentaire afin de me rendre dès le lendemain à Port Barton en bateau (que dis-je, en bicoque!) plutôt qu'en mini-van : faire le trajet en longeant des îles désertes mais recouvertes de jungle, sur des flots aux bleus tantôt profonds, tantôt cristallins, me séduit bien plus que de me taper encore 5 heures de route en mode tape-cul! Le prix de la traversée est certes plus élevé, mais le fait de pouvoir partager la location de la frêle embarcation avec un adorable couple d'Allemands (1 200 pesos par tête, soit 20 euros) me décidera à tenter l'aventure!

Taaadaaa! Voici notre bateau!

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Et quelle aventure! Les 3 heures de navigation (d'un calme et d'une beauté à pleurer, malgré le bruit de l'engin proche de celui des tondeuses à gazon...) se solderont par une panne de moteur! Il semblerait que de l'eau se soit mêlée au fuel, ce qui donne une idée de l'étanchéité approximative de notre canot! Pendant la demie heure qu'il faudra à notre "capitaine" pour relancer la machine, j'aurai le loisir de chercher du regard des bateaux pouvant nous venir en aide, d'estimer le temps nécessaire pour relier à la nage Port Barton - heureusement en vue - et de bénir l'adorable couple de locaux avec qui j'avais discuté pendant des heures la veille et qui était gentillement venu m'apporter un petit encas avant mon départ, juste "au cas où"... Parce que l'attente fut suffisamment longue pour que nous imaginions les scénarios les plus rocambolesques! Mais après avoir versé des litres de sueur et recouru à toutes les techniques dignes de Mac Gyver, notre matelot mate enfin la bête et le bateau peut accoster comme si de rien n'était!

Sabang n'était déjà pas bien grand et en regardant la carte de l'île de Palawan, je me figurais que Port Barton serait d'une taille un peu plus conséquente. Raté!!! Le village se résume à 2 rues poussièreuses et à une longue plage de sable blanc abandonnée par les touristes en cette basse saison. Les blanc-becs de notre espèce sont si peu nombreux que je pense avoir avoir pu les dénombrer sur mes 10 doigts! En guise d'illustration de la tranquillité qui règne sur ce petit bout de côte resté sauvage, l'électricité s'interrompt aux 12 coups de minuit et c'est l'absence de distributeur de billets (ou ATM comme on dit partout dans le monde... sauf en France!) qui me fera rebrousser chemin à contre-coeur quelques jours plus tard... Mais j'y reviendrai plus loin!

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Parcourir les régions de Bornéo par tous les moyens sauf aériens m'avait quelque peu éreinté, mais ces derniers jours passés aux Philippines m'auront achevé : 4 jours de fièvre immédiatement suivis de cette fameuse chute qui me vaudra un genou esquinté pendant 2 semaines... Backpacker, c'est creuvant, qu'on se le dise!!! Sans compter un esprit en permanence sollicité : "where do you go, Mam?", "do you need a tricycle, Mam?", "do you know where to stay, Mam?", "it's a cheap place, Mam!"... "C'est vrai ça! Je vais où? Et comment?!?". Où que l'on se trouve, chaque pas nous amène dans un nouvel environnement où la langue parlée n'est jamais la nôtre et où l'on doit redoubler d'attention quand on voyage seul, en tant que femme de surcroît.

Pas mécontente de me poser un peu, je resterai donc reclue dans ce petit coin de paradis pendant 5 jours, au lieu des 2 initialement prévus, et y fêterai mon anniversaire en heureuse solitaire. Quoi de mieux que le plus beau des ciels étoilés en guise de 32 bougies?!?

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La vue depuis mon bungalow...

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Marre de le plage? Y'a qu'a filer à la cascade!

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La règle en vigueur à Port Barton est l'électricité de 6 heures du matin à minuit (ce qui rend les nuits difficiles du fait de l'absence de ventilateur... mais qui, contrairement au village d'El Nido où je me rendrai quelques jours plus tard et qui lui n'est alimenté qu'en fin de journée jusqu'au petit matin, permet de profiter de quelques grasses matinées!). La lecture d'un policier miraculeusement trouvé sur une étagère de la guesthouse ayant éte ma principale activité à Port Barton, je n'ai pas du tout pâti de ces interruptions cycliques de courant. Sauf que je comprendrai qu'une électricité rationnée est incompatible avec les machines à forte valeur ajoutée, comme les distributeurs de billets par exemple...

Je prolongerai donc mon séjour à coup de money changer (ah, l'universalité des billets verts!) avant de tenter un aller-retour pour Roxas, la ville la plus proche située à 1 heure de chemin de terre, qui ne dispose pas plus d'ATM mais où paraît-il, une station service propose des avances de cash... Mark, un adorable natif de Port Barton avec qui j'ai sympathisé, me propose de m'y emmener en moto. Le pauvre, s'il avait su dans quoi il s'embarquait! Car c'est 4 heures de pistes chaotiques à travers les montagnes que nous nous taperons dans la journée, après avoir amèrement constaté que ma 1ère carte bancaire ne répondait pas et décidé de repartir à Port Barton sur le champ pour récupérer la seconde, sans plus de succès je dois dire... Quelques jours plus tard, il me faudra donc reprendre la route et quitter pour de bon mon petit coin de paradis pour rejoindre Puerto Princesa, la ville principale de l'île située à 6 heures de route, non sans m'être auparavant rapprochée de ma banque qui avait jugé inutile de m'informer du blocage de ma carte bancaire... Je ne m'étendrai pas sur ce terrain glissant, mon profond agacement pour les institutions bancaires n'étant pas le propos de cet article...

Je ne resterai que quelques heures à Puerto Princesa et filerai le soir même par un bus de nuit (6 heures de trajet et moins de 400 pesos, soit environ 7 euros) pour El Nido, destination populaire mais encore relativement peu développée à l'extrêmité Nord de l'île. Les bus étant fidèles à eux-mêmes, je ne fermerai pas l'oeil de la nuit! Nuit d'autant plus courte que l'arrivée s'est faite à 3h30 du matin...

Des chauffeurs de tricycle me proposent de me déposer en "ville". Mais pour aller où?!? Si El Nido est réputée festive, à cette heure de la nuit, la plupart des établissements sont évidemment fermés! Non, je marcherai une demie heure avec tout mon chargement jusqu'à la plage. Quitte à être éveillée, autant profiter du lever du soleil! Et puis, ce n'est pas comme si je n'avais que ça à foutre... 

Au petit matin, j'attends le soleil!

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Les reliefs karstiques au large d'El Nido, formant autant d'îles aux airs de Robinson... 

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Les Philippins et la clique d'anglophones avec qui j'ai traîné tout le temps de mon séjour à El Nido

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2 juin 2014

Last but not least...

Les dernières traces de mon itinéraire remontant au 13 avril, date de mon arrivée à Balikpapan, sorte de porte d'entrée pour l'île de Bornéo depuis la Sulawesi, il etait temps de rafraichir la carte!

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Sur un coup de tête, je quitterai un peu plus vite que prévu la région du Sarawak pour me rendre aux Philippines dès le 4 mai, et ce pour un mois tout rond comme stipulé sur mon visa...

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Je suis justement à la veille de quitter ce bel archipel dont je n'aurais vu qu'une infime partie... Autant de pretextes pour y retourner dans un avenir plus ou moins proche!

D'ici là, c'est au Cambogde que j'ai choisi de revenir pour clotûrer ce beau périple de 8 mois... Une sorte de retour aux sources pour mieux boucler la boucle!

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Là bas, si j'y suis...
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